Moi, c’est Ocilia

Née dans le Finistère, j’ai vécu un peu partout en France, et parfois sur d’autres continents, avant d’atterrir à Nantes.
Je me souviens, enfant, d’avoir dévoré des livres. Des romans, des histoires vraies, des contes mythologiques, des histoires pour les enfants, pour les adultes, tout y passait. Je me souviens aussi d’avoir noirci des pages de mots, de poèmes, de réflexions, d’émotions. L’écriture, c’était ma manière de comprendre, de réfléchir, de déverser. De m’exprimer, de laisser libre cours à ma créativité. De créer du beau, aussi.
En grandissant, l’écriture est devenue une manière de me souvenir, d’archiver ma vie, ses beaux et moins beaux moments, pour pouvoir y revenir plus tard. Je voulais m’exprimer, mais aussi, ne rien oublier.
Tout juste étudiante, j’ai commencé à poster mes textes sur internet. Pas vraiment sérieusement, juste parce que j’en avais envie. J’écrivais parce que j’en ressentais le besoin, quand un sujet me démangeait le bout des doigts, quand l’émotion débordait, quand elle me nouait la gorge, quand elle explosait en feu d’artifice. Je partageais avec le sentiment diffus, à peine conscient, que ces mots me liaient aux autres. Qu’ils étaient ma façon à moi de construire des ponts au-dessus du vide qui sépare parfois les humains.
J’écris pour moi, mais depuis plus de 20 ans, j’écris aussi, et parfois surtout, pour les autres. Parce que je pense que ce que l’on a à dire, même l’intime, même le banal, est universel. Parce que je pense que chacun peut retrouver un petit bout de lui, un point qui entre en résonance, dans le texte, fictif ou pas, d’une autre personne.
Après des études de biologie, j’ai finalement bifurqué, et choisi de commencer ma carrière dans le marketing et la communication en santé. Ici encore, j’ai écrit dans le but de construire des ponts. Comprendre les besoins, les limites, les freins, les peurs de chacun, pour trouver les bons mots, aborder les sujets importants, transmettre les bonnes informations. Très vite, j’ai réalisé des missions d’accompagnement, de formation, de management, et l’évidence s’est imposée.
J’adore les gens
Cela vous parait peut-être un peu bête, un peu simple, comme phrase, mais elle me résume bien. En avançant dans ma carrière, j’ai réalisé une chose : je n’aime rien tant que le contact humain. Rencontrer de nouvelles personnes, apprendre à les connaitre, découvrir leur histoire. Leur apporter quelque chose de nouveau, de nécessaire, les écouter, les entendre, me sentir utile, vraiment utile.
Alors quand le besoin d’une reconversion s’est fait sentir, quand l’idée de l’entrepreneuriat a commencé à m’appeler, c’était une évidence, il me fallait remplir mes journées de mots et d’humains.
La découverte du métier de biographe, après celle des ateliers d’écriture, a été un déclic, la pièce qu’il manquait à ma construction pour lui donner forme. À cette époque, je venais de perdre mon grand père. Ma grand-mère, la seule encore vivante, était atteinte d’une maladie neuro-dégénérative. J’ai reçu cette nouvelle réalité comme une gifle : je ne pourrai jamais reconstituer l’histoire complète de ma famille, de mes origines, de mon identité. Sans transmission, elle s’était évaporée, perdue avec eux. Devenir biographe, c’était offrir à d’autres familles la possibilité de se souvenir, de transmettre. De conserver des textes qui les représentent, représentent leurs proches, leur permettent d’archiver précieusement les détails qui comptent, les anecdotes qui font sourire, les souvenirs des personnes aimées.
En mêlant la biographie, l’animation, l’accompagnement et la communication se dessinait un métier fait pour moi. Écrire et accompagner dans l’écriture. Aller vers les autres. Transmettre. Construire des ponts. Relier les humains.
Nos histoires méritent d’être partagées
Souvent, nous avons envie d’écrire, ou de faire écrire. Une (auto)biographie, une autofiction, un roman, un moment de vie. Souvent, au lieu d’écouter cette envie, nous choisissons d’obéir à cette petite voix qui nous susurre à l’oreille que nous ne sommes pas assez. Que notre histoire n’est pas assez intéressante, pas assez originale, que nous n’écrivons pas assez bien, que nous ne sommes pas assez créatifs. Je ne crois pas que cette petite voix ait raison. Je crois que toutes les histoires méritent d’être partagées, entendues, gravées. Je crois que chaque voix est unique, que chaque vie est le fruit d’une infinité de détails, de hasards, d’émotions lui donnant une saveur singulière. Je crois, profondément, que nous avons tous quelque chose à dire, un message à transmettre.
Ce que je veux, aujourd’hui, c’est vous aider à transmettre les vôtres. Je souhaite vous accompagner à travers votre créativité, votre écriture, vos récits. Je souhaite vous prêter ma plume pour vous raconter. Je souhaite partager vos mots, les faire entrer en résonance avec ceux du reste du monde.
Parce que je crois, profondément, que nous en avons tous besoin.
MA PERSONNALITÉ EN QUELQUES MOTS
DOUCEUR
Je suis toujours un peu étonnée de l’entendre, mais tous mes proches sont unanimes sur le sujet : la douceur est l’adjectif qui me caractérise le mieux.
Introvertie, d’un tempérament calme et chaleureux, j’aime créer un cocon dans lequel chacun peut se sentir en confiance pour s’exprimer.
OCÉAN
Décor de toute mon enfance dans le Finistère sud (j’ai même travaillé en tant que monitrice de voile pour payer mes études), il est au centre aujourd’hui de mon identité d’adulte, et souvent, de mon inspiration.
J’aime m’y balader en silence, le sentir, l’écouter, et laisser mon esprit vagabonder à son contact. Il m’aide à remettre mes idées en ordre, à souffler sur les braises de mon inspiration.
VOYAGE
Un virus transmis par mes parents dans mon enfance, et qui n’est pas prêt de me quitter ! Découvrir de nouveau pays, de nouvelles cultures, des paysages merveilleux…
Ayant eu la chance de vivre dix mois au Chili et plus de deux ans au Canada, j’essaie aujourd’hui de mieux concilier mes envies d’ailleurs et mes convictions écologiques. Je me suis d’ailleurs découvert une passion pour le cyclotourisme !
MULTIPLE
Je crois qu’aucun humain ne rentre parfaitement dans une case. Nous avons tous nos contradictions, nos complexités, nos traits de personnalités dissonants, nos grandes fiertés et petites hontes, parfois des facettes de notre personnalité que nous cachons sans vraiment savoir pourquoi, et qui font notre richesse.
De mon côté, j’aime autant les concerts de rock que les soirées à tricoter avec une tisane devant une série, je déteste les histoires d’amour dans les livres alors que je les adore dans les films…
ANIMAUX
Enfant, je voulais devenir vétérinaire (et travailler pour Vétérinaires Sans Frontières).
J’ai pratiqué l’équitation pendant plus de 20 ans, vécu avec un chien de la SPA chez mes parents, puis avec un chat recueilli lorsque j’ai volé de mes propres ailes.
Aujourd’hui, mon compagnon et moi partageons notre appartement avec Saïan et Supa, deux chats aussi adorables qu’idiots, et je rêve de trouver la place pour devenir famille d’accueil pour d’autres animaux.
SENSIBILITÉ
Tout m’émeut.
Je suis cette personne qui glisse discrètement sa petite larme devant un film fort, un document poignant, un passage triste dans un roman.
Je suis cette personne qui ne trouve plus les mots face à un paysage sublime, une photographie percutante, un tableau saisissant.
Je suis cette personne dont les proches rient de ces moments d’émotions, mais qui n’échangerait sa sensibilité pour rien au monde.
MES FORMATIONS
FORMATION LITTÉRAIRE :
2025 : Animer des ateliers d’écriture, Laura Vasquez
2025 : Écrivain public-biographe, Centre National privé de Formation à Distance
FORMATION INITIALE :
2011 : Mastère spécialisé Intelligence Marketing, HEC Paris
2010 : Diplôme d’ingénieur en Génie Biologique, Polytech Nice-Sophia
Pour plus d’informations sur mon parcours, n’hésitez pas à visiter mon profil LinkedIn.